Je relisais nostalgiquement le blog de Paul Binocle (j'y retourne régulièrement voir s'il y a des mises à jour - je suis une personne très optimiste), et puis j'y ai trouvé le lien vers ce site. Cliquer m'a permis de constater que 1) Paul est toujours en vie ! Yay ! (Il me manque, le bougre.) 2) sur ce site, entre autre, il est question de créatures fantastiques, et le titre de ce sujet vous a renseigné sur mon opinion à leur sujet.

Plus précisément, j'aime les créatures qu'on pourrait qualifier de monstrueuses, autant dans les mythes (religieux et fantastiques) que dans la fiction (littérature etc) mais aussi la réalité, même si les créatures les plus intéressantes n'existent généralement plus aujourd'hui.
J'aime aussi énormément les histoires de fantômes.

Par contre, je ne crois absolument pas au surnaturel, je vois ça comme des histoires et rien d'autre. Mais des histoires qui me touchent et m'intéressent beaucoup.

Enchantée !

Bonjour Pinsalinj, sois la bienvenue parmi nous. J'ai activé ton compte pour que tu puisses poster dans les autres sections.

Étant fan de cryptozoologie moi-même et également fan de Lovecraft, j'aime beaucoup les créatures fantastiques. Du coup, as-tu une "catégorie" préférée en la matière, ou les aimes-tu toutes sans discrimination ?

(Pour ce qui est du blog de PB, la dernière fois qu'on en avait parlé il m'a dit qu'il l'arrêtait, je crois. Trop de boulot, trop de projets !)

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Fort aimable Merci !


J'aime les prédateurs géants non-humanoïdes, plus particulièrement les prédateurs marins (ou les monstres marins géants n'étant pas nécessairement des prédateurs). Fut un temps où j'adorais les zombies mais je suis un peu lassée depuis.


Oui, c'est ce que je supposais au bout de quatre ans, mais il paraît que l'espoir fait vivre et je comptais devenir immortelle.

Bienvenue !


En voilà un sujet intéressant, que j'affectionne aussi !


En temps qu'amatrice de ce blog, tu n'auras donc pas manqué d'apprendre la triste nouvelle de la mort de Jack Chick... en un sens, il vas nous manquer

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« C'est une paralysie du sommeil. Ou bien un orbe. » (vieille sagesse zététique).

Bonjour Pinsalinj ! TRES joli pseudo, même si je viens de comprendre... Voir les Frères Jacques Quatre Barbus :


Moi, j'aime les dragons. De préférence les dragons énormes et puissants mais très très gentils. Crounch entre les oreilles et tout ça.
Comment définis-tu 'monstres', d'ailleurs ?

Et pis je suis aussi d'accord avec toi à propos du blog de Paul. Si on lançait une pétition pour qu'il le reprenne ? Hein ? Hein ?

(je suis en train d'écouter les 4 Barbus, c'est tordant)

Bienwelcome

Willkommen, Bienvenue, Welcome !


Tu m'étonnes, je suis passé hier au rayon littérature fantastique de mon cultura local, c'est la surenchère ...
Par contre, j'ai lu ça il y a quelque temps, j'ai trouvé ça excellent :



Bétan, Julien. Auteur | Colson, Raphaël. Auteur
Edité par les Moutons électriques. Lyon - 2013

Une étude historique et culturelle sur la présence des morts-vivants au cinéma, à la télévision, dans la littérature, la musique ou les jeux vidéo.

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"Tout croire et ne rien croire sont deux solutions également commodes, qui l'une comme l'autre nous dispensent de réfléchir." H. Poincaré

Il doit être assez complémentaire de cet autre bouquin que je suis en train de terminer :

Zombis, enquête sur les morts vivants de Philippe Charlier.

Il s'agit d'une étude du phénomène zombis dans le folklore haïtien, où la croyance est encore très vivace et se présente sous une forme bien distincte du "zombie de Science-Fiction" que nous connaissons. Le bouquin se lit très bien et c'est tout à fait accessible au grand public.

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Close the world, open the next

Oui, le bouquin dont je parle est très axé "pop culture" (l'iconographie est excellente), et sans doute moins scientifique que celui de Charlier, même si une partie est dédiée aux origines du mythe.

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"Tout croire et ne rien croire sont deux solutions également commodes, qui l'une comme l'autre nous dispensent de réfléchir." H. Poincaré