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MessagePublié: 09 Mars 2010, 11:56 
Lueur dans la nuit
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Le mythe de la surpopulation

L’environnement s’avère être la dernière bouée de sauvetage du socialisme et, à l’échelle internationale, l’argument majeur autour duquel on prétend articuler la construction d’un État mondial. Quelle que soit la problématique, le même message est véhiculé : l’État et les institutions internationales doivent intervenir et planifier la gestion de l’environnement.

« Notre population est si énorme que la Terre peut difficilement nous soutenir. »
« Nous sommes gravement à découvert sur le plan écologique : nous consommons les ressources plus vite que la Terre ne les régénère. »

À votre avis, quelle est le point qui différencie ces deux affirmations péremptoires ? À première vue, aucune, direz-vous. Très juste. Si ce n’est la date : la première citation a été formulée à Carthage par Tertullien au 2e siècle de notre ère, la seconde, 18 siècles plus tard par le directeur général du WWF, James Leape. Tertullien ajoutait également : « La faim, la guerre et les tremblements de terre représentent le remède qu’elle possède pour éliminer l’excès de population. » Or, à l’époque de Tertullien, la population mondiale n’atteignait pas les 200 millions d’habitants. Mais, déjà avant lui, Platon, Aristote ou Confucius avaient exprimé les mêmes terreurs. Aujourd’hui, le WWF nous assure que l’Humanité consommerait en 2050 l’équivalent des ressources annuelles de deux planètes comme la Terre et que la destruction de l’environnement atteindrait un rythme jamais vu auparavant.

David Osterfeld, professeur de science politique, démontait déjà, il y a presque vingt ans, le mythe de la surpopulation destructrice de la Terre en rappelant que les catastrophistes prédisent la fin de la Terre depuis des siècles. Leur arrogance intellectuelle est telle que, puisqu’ils n’ont pas trouvé le remède, personne ne pourra trouver de solution à la « surpopulation ». La population humaine a été multipliée par 6 les 200 dernières années. Une véritable explosion. Mais on a également observé une explosion de la productivité, des ressources, des aliments, de l’information, des communications, de la science, de la médecine, etc. La surpopulation est un terme relatif, nullement absolu. En effet, celle-ci doit être mesurée en relation avec les facteurs comme les aliments, les ressources ou l’espace physique. Or la production des aliments a augmenté plus que la population et nombre d’experts estiment que nous avons la capacité de nourrir une population 8 à 10 fois plus nombreuse. Cela sans compter les progrès technologiques. Par ailleurs, les ressources sont chaque fois meilleur marché en comparaison avec les salaires. Mais surtout, les ressources résident dans l’esprit humain. Certes, l’espace est fini, mais moins d’1% de la surface terrestre est utilisée pour les établissements humains. De plus, les taux de fécondité ont baissé de 4,5 en 1970 à 3,3 en 1990. Face aux antiennes catastrophiques que les éco-alarmistes nous serinent depuis l’Empire romain, il est bon de se rappeler du pari que gagna Julian Simon.

Julian Simon est célèbre notamment à cause d’une gageure qu’il a prise avec Paul Ehrlich, auteur du best-seller The Population Bomb. Dans son livre, Ehrlich reprenait la thèse malthusienne (tout comme le WWF aujourd’hui) et prédisait que des millions de gens mourraient de faim aux États-Unis et ailleurs dans les années 1980 parce que nous aurions atteint les limites de la capacité de la terre à produire de la nourriture. Évidemment, cette terrible famine n’est jamais survenue. En 1980, Simon demanda donc à Ehrlich de prendre cinq métaux présumés « rares » de son choix et paria avec lui que dix ans plus tard, leurs prix auraient baissé. Ehrlich croyait évidemment que ces métaux deviendraient de plus en plus rares et que leurs prix allaient au contraire monter. Or, en 1990, il s’avéra que les prix des cinq métaux avaient effectivement baissé, dans des proportions allant de 3,5% à 72%, car de nouvelles découvertes avaient augmenté les réserves disponibles de ces métaux, des améliorations technologiques avaient fait en sorte qu’on en utilisait moins pour arriver à un même résultat et des substituts plus efficaces avaient été développés. Ehrlich dut payer.

Ce pari fut également à la base de la « conversion » d’un jeune statisticien danois qui enseignait à l’Université de Aarhus, Bjorn Lomborg. En 1997, s’affichant de gauche et militant de Greenpeace, ce dernier avait justement décidé de s’attaquer à ce qu’il considérait comme de la propagande de droite américaine en se lançant avec quelques-uns de ses étudiants dans un exercice de vérification des thèses de Julian Simon. Après seulement quelques mois, Lomborg se rendit compte que les données de Simon étaient bien véridiques et que c’est lui qui, sur la plupart des sujets, avait raison. Il se mit donc alors à réviser complètement les projections catastrophiques des écologistes tel que Ehrlich ou Lester Brown du Worldwatch Institute. Son enquête déboucha sur la publication d’un livre, The Skeptical Environmentalist (publié en français sous le titre L’écologiste sceptique), dont on peut rapidement résumer les principales conclusions :

actuellement, les ressources naturelles ne sont pas près de disparaître ; la principale limite à leur disponibilité est le coût associé à leur découverte et leur extraction ; les réserves connues de pétrole et de gaz, ainsi que celles des principaux métaux industriels, sont plus importantes aujourd’hui qu’elles ne l’étaient lorsque le Club de Rome faisaient ses prédictions alarmistes dans The Limits to Growth ;
l’« explosion de population » n’a jamais eu lieu et n’aura pas lieu ; la production agricole par tête s’est accrue de 52% dans les pays en voie de développement depuis 1961 et la proportion de ceux qui manquent de nourriture dans ces pays est passée de 45% en 1949 à 18% aujourd’hui ; le prix de la nourriture n’a pas cessé, depuis deux siècles, de baisser en termes réels ; la population humaine devrait de toute façon se stabiliser dans les prochaines décennies ;
le problème des espèces menacées et d’une réduction de la biodiversité a été grandement exagéré, tout comme celui de la disparition des forêts ; si certaines forêts tropicales continuent d’être décimées, la reforestation augmente ailleurs et la surface consacrée aux forêts dans le monde s’est accrue depuis un demi-siècle ;
la pollution est elle aussi un phénomène qui diminue constamment, en particulier dans les pays riches ; la qualité de l’air, de l’eau et de l’environnement en général est plus grande que jamais dans les grandes villes ; la pollution importante est un phénomène typique des périodes de début de croissance industrielle, alors que les populations sont prêtes à accepter un certain niveau de pollution en échange d’un enrichissement rapide ; plus un pays est riche, plus ses citoyens consacrent des ressources importantes à la qualité de l’environnement ; les innovations technologiques font également en sorte que les méthodes de production soient de moins en moins polluantes.

Le discours alarmiste des mouvements écologistes est devenu tellement habituel que la plupart des gens ont fini par s’y habituer et même l’adopter. Ces thèses apocalyptiques sont bien utiles pour les étatistes de droite comme de gauche. En effet, alors que la grogne contre le fardeau fiscal ne cesse d’augmenter, que la bureaucratisation et l’inefficacité des programmes sociaux sont dénoncées de toute part, que les désastreuses utopies de gauche ne recueillent plus l’appui actif que d’une minorité marginalisée, il faut bien trouver d’autres bonnes raisons pour justifier l’intervention de l’État. L’environnement s’avère être la dernière bouée de sauvetage du socialisme et, à l’échelle internationale, l’argument majeur autour duquel on prétend articuler la construction d’un État mondial. Quelle que soit la problématique, le même message est véhiculé : l’État et les institutions internationales doivent intervenir et planifier la gestion de l’environnement. C’est pourquoi il est bon de rappeler encore et toujours que ce discours est presque entièrement fondé sur des faussetés. Non seulement nous n’allons vers aucune catastrophe, mais l’environnement continue globalement de s’améliorer et aucune surpopulation ne viendra détruire la Terre.


http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/le-mythe-de-la-surpopulation-71173

Qu'en pensez-vous ?
Personnellement, je ne suis pas convaincue du tout, j'ai l'impression que c'est encore une fois une façon de faire comme si tout allait bien Madame-La-Marquise... :eh:
Cela dit, je ne suis pas suffisamment callée en la matière pour avoir des certitudes. :think:

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée


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MessagePublié: 10 Mars 2010, 22:00 
Sonne toujours deux fois
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Localisation: Massif central. Par là.
C'est un peu un ramassis de bêtises et de sophismes, cet article... Voyons voir :

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L’environnement s’avère être la dernière bouée de sauvetage du socialisme

Ah ? L’auteur de l’article ne serait donc pas complètement neutre, politiquement parlant ?... :P

Au delà de cette histoire, je ne vois pas trop quel est le rapport entre la protection de l’environnement et le socialisme (à moins qu’on aille considérer les partis politiques écologistes comme des avatars du socialisme à la sauce verte, mais ça me paraît être une façon un peu simpliste de voir les choses)... :think:

Citer:
Si ce n’est la date : la première citation a été formulée à Carthage par Tertullien au 2e siècle de notre ère, la seconde, 18 siècles plus tard par le directeur général du WWF, James Leape. Tertullien ajoutait également : « La faim, la guerre et les tremblements de terre représentent le remède qu’elle possède pour éliminer l’excès de population. » Or, à l’époque de Tertullien, la population mondiale n’atteignait pas les 200 millions d’habitants. Mais, déjà avant lui, Platon, Aristote ou Confucius avaient exprimé les mêmes terreurs.

Je crois qu’on parle d’une chose sans la resituer dans son contexte...

Nous ne pouvons pas nous représenter l’environnement dans lequel a vécu Tertulien et ses contemporains. Imaginez un monde dans lequel la population française n’avoisinait pas les 65 millions d’habitants actuels, mais les 10 millions ; imaginez également un pays presque entièrement recouvert de forêts (plus de 90% de la surface, contre à peine 12 ou 13% aujourd’hui), dans lequel vous auriez pu marcher sur des centaines de kilomètres sans rencontrer âme qui vive ni la moindre trace d’une présence humaine.
Dans ce monde là, on pouvait croiser des loups ou des ours sauvages dans le bois au coin de son village, ou des phoques sur tout le pourtour de la côte Atlantique. Il y avait des lions jusque dans le Sud de l’Italie et en Grèce, des léopards et des guépards en Turquie, et même des populations relictuelles de mammouths sur certaines îles méditerranéennes.

Je crois que Tertulien n’aurait jamais pu imaginer que nous puissions dompter l’environnement en rasant une bonne partie des forêts naturelles et en asséchant la presque totalité des zones humides... Pas plus qu’il n’aurait pu se figurer que les êtres humains puissent vivre un jour dans des villes fonctionnelles de plus de 2 millions d’habitants, qu’ils éradiquent définitivement le soucis de la pénurie alimentaire et se libèrent de la plupart des maladies graves connues...
Ce que nous avons fait, pourtant, et avec un certain succès. Mais ça a eu un prix –vous pouvez toujours courir pour observer un loup dans les bois de votre patelin, et la biodiversité faunistique/floristique européenne est d’une désolante pauvreté par rapport à ce qu’elle était 2000 ans auparavant.

Alors oui, sans aucun doute, la planète pourrait supporter une population humaine bien plus importante qu’elle ne l’est actuellement, si nous y mettons les moyens et les technologies pour. On pourrait imaginer - comme Robert Silverberg l’a fait dans son livre « Les Monades Urbaines » - de faire vivre les êtres humains dans des tours gigantesques, de façon à libérer de l’espace au sol... espace qui serait utilisé pour l’industrie et une agriculture ultra-productivistes, de façon à subvenir aux besoins de cette méga-population.

Le tout est de savoir dans quel type de monde nous voulons vivre. Je ne pense pas que l’accroissement de la population soit une fin en soit, si c’est pour que les gens vivent dans un univers bétonné et pour les quelques rares espaces vraiment naturels qui restent soient davantage marqués par la présence humaine... :|

Citer:
Or la production des aliments a augmenté plus que la population et nombre d’experts estiment que nous avons la capacité de nourrir une population 8 à 10 fois plus nombreuse.

Oui, sans nul doute... Mais seulement au moyen d’une agriculture intensive (pour ne pas dire « industrielle »), dont l’impact sur l’environnement serait non négligeable. Il est illusoire d’espérer pouvoir nourrir une population de 10 milliards d’habitants seulement avec de l’agriculture raisonnée ou biologique...

Citer:
Certes, l’espace est fini, mais moins d’1% de la surface terrestre est utilisée pour les établissements humains.

Ce chiffre de 1% me paraît trop petit pour être honnête, je serais curieux de voir d’où il sort et sur quels critères il a été calculé.

Mais quoi qu’il en soit, si on prend en compte les terres agricoles, les espaces naturelles mais anthropisés (et dont l’intérêt écologique est très réduit), plus les zones difficiles (qu’il s’agisse des déserts ou des montagnes) on doit s’apercevoir qu’il ne reste plus grand chose dans la catégorie « espace naturel préservé ».
En France par exemple, ce pourcentage est ridicule et les spécialistes ont un mal pas possible lorsqu’ils font un inventaire à dénicher des endroits vierges de toute activité humaine, dans laquelle la faune et la flore originelle ont pu se maintenir.

Citer:
actuellement, les ressources naturelles ne sont pas près de disparaître ; la principale limite à leur disponibilité est le coût associé à leur découverte et leur extraction ; les réserves connues de pétrole et de gaz, ainsi que celles des principaux métaux industriels, sont plus importantes aujourd’hui qu’elles ne l’étaient lorsque le Club de Rome faisaient ses prédictions alarmistes dans The Limits to Growth

Si les réserves sont plus importantes, c’est avant tout parce que nos méthodes de détection se sont affinées et qu’un effort considérable a été mis dans la recherche de nouveaux gisements (quitte à aller les chercher là où ils sont dans leur emplacement difficilement accessible, en Alaska, en haute mer ou en profondeur).

Dans tous les cas, il suffit d’un peu de bon sens pour comprendre que le pétrole ou les métaux ne sont pas des ressources inépuisables ni renouvelables, que les sucer jusqu’à la moelle ne servira à rien et qu’il vaut mieux s’orienter vers des solutions alternatives viables sur le long terme (et plus respectueuses des milieux, parce quand on voit les dégâts causés par l’exploitation de minerais dans certains pays d’Afrique...).

Citer:
l’« explosion de population » n’a jamais eu lieu et n’aura pas lieu ;

Ah bon ? Ce n’est pas ce qu’on peut lire un peu plus haut (je cite : « la population humaine a été multipliée par 6 les 200 dernières années. »). :P

Quoi qu’il en soit, l’explosion démographique a bien eu lieue (si on regarde le graphe de l’évolution de la population mondiale sur les 3 derniers millénaires, on obtient une courbe exponentielle dont l’angle d’inflexion se situe aux environs du XVIIIème siècle). Et elle se poursuit encore (le cap des 9 milliards d’habitants devrait être largement dépassé d’ici 2050).

Citer:
la production agricole par tête s’est accrue de 52% dans les pays en voie de développement depuis 1961 et la proportion de ceux qui manquent de nourriture dans ces pays est passée de 45% en 1949 à 18% aujourd’hui ; le prix de la nourriture n’a pas cessé, depuis deux siècles, de baisser en termes réels ;

Oui, et à quel prix... C’est un développement qui s’est révélé être tout sauf « durable » au final, et à tous les points de vue : environnemental, social et économique.

Citer:
la population humaine devrait de toute façon se stabiliser dans les prochaines décennies ;

Normalement, elle devrait se stabiliser aux environs de 12 milliards au début du siècle prochain... à condition que les PED suivent la même voie que celle qu’a empreinté l’Occident (une hausse de niveau de vie s’accompagnant d’une diminution spontanée du taux de natalité, via l’information et l’accès aux modes de contraception).
Or, ça n’a rien de certain -notamment à cause des différences culturelles, les religions abrahamiques étant fortement implantées dans les PED et elles ont tendance à « pousser à la reproduction ». Ce chiffre de 12 milliards pondu par l’ONU est le juste milieu d’une fourchette d’autres estimations plus ou moins optimistes...

Dans l’état actuel des choses et si le taux d’accroissement mondial reste le même, la population mondiale devrait atteindre plus de 40 milliards d’habitants d’ici 2100. Alors je serai tenté de dire, heureusement que la natalité diminue chez nous...

Citer:
le problème des espèces menacées et d’une réduction de la biodiversité a été grandement exagéré, tout comme celui de la disparition des forêts ;

Ce qu’il ne faut pas lire... La plupart des espèces que l’on peut admirer dans les zoos ont déjà disparu de leur milieu naturel en dehors des réserves, ou sont condamnées à plus ou moins long terme (on peut prendre l’exemple du tigre de Sibérie, de l’éléphant d’Afrique ou de l’orang-outan)...

Franchement, quand je regarde la liste des espèces disparues ou de celles (bien trop nombreuses) citées dans l'annexe I du CITES, j’ai plutôt l’impression d’un effroyable gâchi...

Citer:
si certaines forêts tropicales continuent d’être décimées, la reforestation augmente ailleurs et la surface consacrée aux forêts dans le monde s’est accrue depuis un demi-siècle ;

C’est le genre d’argument que l’on entend souvent (avec le principe des « forêts écologiquement gérées : pour un arbre coupé, on en replante un autre ») mais qui se révèlent assez crétins si l’on les examinent de près.

Toutes les forêts ne se valent pas. Une forêt gérée par l’être humain à une fin quelconque (économique ou « récréative»), ou une forêt qui repousse après avoir été entièrement coupée (comme c’est le cas de la majorité des forêts françaises) abritent une diversité faunistique ou floristique très réduite comparée à une forêt naturelle... Il faudra attendre un long moment -au minimum 50 ans, mais souvent bien plus- pour qu’un nouvel équilibre se forme et que le milieu retrouve sa richesse d’antan. Si tant est qu’il la retrouve entièrement, ce qui est rarement le cas...

Citer:
la pollution est elle aussi un phénomène qui diminue constamment, en particulier dans les pays riches ;

Et ailleurs ? En Asie ou en Amérique du Sud ?... :roll:

Citer:
L’environnement s’avère être la dernière bouée de sauvetage du socialisme et, à l’échelle internationale, l’argument majeur autour duquel on prétend articuler la construction d’un État mondial.

Arf. Le NOM nous manipule, encore une fois... J’aurais dû le voir venir. :P

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