...Mais une crémation à l'indienne, avec juste un énorme bûcher en bois, prend un temps conséquent et laisse pas mal de "résidus" derrière elle...

EDIT : zut, grillé par M.T.

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Je serais curieux d'entendre parler de tes méthodes de crémation non polluantes, la chambre bleue. J'imagine qu'on peut se passer d'une "bonne" crémation comme celle décrite par Cortex et se contenter d'un feu de bois, mais cela ne fait que diminuer l'aspect "utilisation de combustibles fossiles", cela ne change rien aux émissions de gaz à effet de serre, de métaux lourds, ...

Finalement, la solution la plus écologique serait peut-être de créer des stations de traitement des cadavres, mais je ne suis pas sûr que les gens apprécieraient beaucoup.

Edit : aargh.

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Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.

"Soylent green is made up of people !"

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T'imagines ? Le papy dans le bac à compost quand il passe ad patres...

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Non je pensais, en fait, aux crémations indiennes (mais celles d'Amérique du Nord) que je trouvais naturelles...
... Et que les européens ignorent, préférant réver aux cimetières indiens hantés qui n'existent que dans leur imagination !!

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Le temps est un fleuve, parait-il, mais un fleuve sans source, sans embouchure ni delta, sans pont et ne coulant que dans une seule direction. La métaphore est donc bien trop simplette pour être honnête...

Ah ! Je ne connaît pas du tout.
Pourrais-tu décrire un peu le processus s'il te plaît ? En quoi diffèrent-elles de celle du sous-continent indien, qui me paraissent assez classiques : beaucoup de bois, un peu d'huile, et basta.

Elle est simple, on place le corps préalablement enduit d'un produit s'apparentant à un produit inflammable sur une espèce de tour en bois remplie de feuillage et on y met le feu. Pendant que le corps flambe la tribu quitte le village.

Cela m'a été expliqué dans le site huron/wendake situé à côté de Québec par un guide spécialisé, universitaire, de son état dont j'ai oublié le nom mais dont voici la photo. (l'homme debout à ma droite et donc à gauche de la photo)

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Le temps est un fleuve, parait-il, mais un fleuve sans source, sans embouchure ni delta, sans pont et ne coulant que dans une seule direction. La métaphore est donc bien trop simplette pour être honnête...

Je présume que ça ne change pas grand-chose. On a toujours une forte émission de CO2 (comme dans toute combustion), ainsi que diverses émanations de gaz nocifs et autres métaux lourds que l'on obtient habituellement en brûlant un corps...

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[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Le fait de considérer que le corps naturel d'un être humain est une source de pollution nocive quand on le brule prouve que cette société marche sur la tête. Ils vont finir par nous obliger à mettres des bouchons dans le c.l !!

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Le temps est un fleuve, parait-il, mais un fleuve sans source, sans embouchure ni delta, sans pont et ne coulant que dans une seule direction. La métaphore est donc bien trop simplette pour être honnête...

...sauf que c'est, objectivement, une source de pollution.

Désolé si les faits ne cadrent pas avec ta vision personnelle de l'écologie.

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