Ca n'aura pas traîné : Nelson Piquet Jr a annoncé sa mise à l'écart de l'équipe Renault hier. Le nom de son remplaçant n'est pas encore connu.

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Je suis le grincement dans les poutres. Le battement d'ailes dans la cheminée. Les petites marques de dents dans la pêche. Je suis BATMAN FRUGIVORE. - Charles Montgomery Plantagenet Schicklgruber Burns.

Possible retour du Grand prix de F1 du Canada à Montréal l'an prochain sur le circuit Gilles Villeneuve. Après 2 ans d'absences, ce serait un retour qui ferait des heureux chez les différentes écuries et la population en Amérique du Nord. La confirmation possiblement au cours des prochaines heures.

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La guerre... La guerre... C'est pas une raison pour se faire mal! (La guerre des Tuques)

Intéressant. Moi qui avait vaguement le rêve de venir à Montréal un week-end de Grand Prix...

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Bon ben Schumacher ne reviendra pas.

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"Oh ! Oh !" s'exclama-t-il en portugais, car c'était là sa langue maternelle...

En effet... Schumacher a été victime, en début d'année, d'un accident de moto qui a laissé des séquelles à sa nuque. Victime de douleurs lors de sa première journée d'essais le 31 juillet, il n'a pu en venir à bout. Dommage. Je ne l'ai jamais particulièrement adulé mais je me réjouissais de son retour.

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À quelques jours du Grand Prix d'Europe, la sanction qui frappait l'écurie Renault a finalement (et justement) été annulée en appel. Du même coup, le constructeur français a annoncé que c'est Romain Grosjean qui occuperait le baquet de la seconde Renault à Valence.

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Je n'ai pas vu la course, mais elle a été enlevée par Rubens Barrichello. Le Brésilien a visiblement fait une belle course, mais il a surtout profité d'un cafouillage de l'équipe McLaren, qui n'avait pas préparé les bons pneumatiques pour le second arrêt de Lewis Hamilton. Les deux hommes devancent Raikkonen, Kovalainen, Rosberg, Alonso, Button et Kubica. Le néophyte Grosjean a connu une course difficile marquée par un accrochage et un tête-à-queue, et termine à une lointaine quinzième place. C'est toujours mieux que le revenant Badoer, 17ème et inexistant tout au long du week-end. Manifestement, la course a été aussi ennuyeuse que l'édition 2008.

Ce succès inespéré de Barrichello relance non seulement l'écurie Brawn qui en avait bien besoin, mais également le pilote brésilien, qui reprend la deuxième place du championnat et revient à 18 points de Button. Red Bull a fait chou blanc aujourd'hui : Vettel a cassé son moteur et Webber termine hors des points.

Prochaine épreuve à Spa, en Belgique, dimanche prochain.

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Les qualifications du Grand Prix de Belgique viennent de donner lieu à des résultats pour le moins surprenants puisque c'est la Force India de Giancarlo Fisichella qui s'est adjugée la pole position !

L'Italien n'a pourtant pas bénéficié de la pluie ou d'autres circonstances particulières, et c'est à la régulière qu'il a été le plus rapide. Il devance Trulli, dont la Toyota poursuit une saison en dents de scie, et la BMW d'Heidfeld, qui s'est avérée elle aussi étonnamment rapide sur le circuit ardennais - comme en témoigne la cinquième place de Kubica. Autre bonne surprise, la présence inattendue de la Williams de Rosberg en Q3 (dixième temps de celle-ci au final), qui avait été constamment à la peine depuis vendredi matin.

La course s'annonce d'autant plus passionnante que Barrichello, qui a visiblement le vent en poupe après sa victoire à Valence, est le mieux placé des prétendants au titre mondial avec le quatrième temps. Vettel est quant à lui huitième juste devant Webber, et Button a dû se contenter de la quatorzième place derrière Hamilton et Alonso. Grosjean, gêné par un tête-à-queue de Badoer et, apparemment, un petit bouchonnage de la part de Buemi en fin de Q1, s'élancera avant-dernier. C'est toujours mieux que Badoer, incapable de s'extirper du dernier rang. Une rumeur insistante circule sur son remplacement dès le Grand Prix d'Italie, par... Fisichella, justement.

Au chapitre des transferts, soit dit en passant, Nico Rosberg pourrait partir pour McLaren en 2010, alors que Renault et Williams lorgneraient sur Kubica.

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Suivre la course à la radio peut être sympathique, mais les commentateurs d'Europe 1 sont vraiment imbittables. J'ai vivement regretté de ne pas avoir trouvé RMC. Plus médisant, tu meurs.

Il n'empêche, c'est Raikkonen qui a gagné, mettant un terme à un an et demi de disette - certains le disaient même au bord de la retraite. Fisichella avait initialement gardé l'avantage de sa pole position au départ, alors que derrière, l'envol complètement manqué de Barrichello semait la panique dans le peloton : le Brésilien et Trulli se retrouvaient en queue de peloton alors que Button harponnait Grosjean, déclenchant un carambolage qui mettait également Hamilton et Alguersuari dans le bas-côté. Raikkonen et Kubica se touchaient eux aussi, mais sans gravité. La voiture de sécurité sortit et la course resta neutralisée quatre tours.

Lorsqu'elle s'écarta, Raikkonen prit l'avantage grâce au surcroît de puissance fourni par son KERS. Il ne parvint cependant pas à s'échapper ensuite, un Fisichella survolté restant obstinément accroché à ses basques, à moins d'une seconde.

Tendue en tête, la course l'était également pour la troisième place : initialement convoitée par les BMW, elle sembla un moment promise à Fernando Alonso grâce à une stratégie opportune à un seul arrêt, mais les espoirs de l'Espagnol furent une nouvelle fois anéantis par un problème de flasque de roue. Cette fois, c'est un contact en début de course qui en était la cause, contraignant la Renault à l'abandon. Finalement, un retour inattendu de Sebastian Vettel lui permit de devancer Kubica et Heidfeld, alors que Kovalainen sauvait les meubles pour McLaren après une course discrète mais efficace.

Barrichello sauve finalement la septième place après une remontée qui témoigne de sa motivation, et ce malgré un moteur fumant, qui prit feu une fois la ligne d'arrivée franchie. Il reprend deux points à son équipier Button, absent de l'arrivée pour la première fois de l'année. Nico Rosberg termine juste derrière, un résultat plus que satisfaisant compte tenu des difficultés de la Williams tout au long du week-end. Un des perdants du week-end fut Webber, neuvième : il fut accablé d'une pénalité après que son équipe l'ait relâché un peu tôt lors de son premier arrêt au stand, manquant de provoquer une collision avec Heidfeld.

Au championnat, Barrichello revient à 16 points de Button et Vettel à 19, alors que Webber reste à 20,5. Même si mathématiquement Raikkonen, Rosberg, Hamilton et Trulli peuvent encore espérer être sacrés, il ne fait plus de doute que le Grand Prix d'Italie s'avérera décisif pour les quatre premiers du championnat.

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Les Brawn viennent de renouer avec leurs habitudes du début de saison en s'adjugeant un doublé à Monza, cette fois dans l'ordre Barrichello-Button. Le premier revient à 14 points du second au championnat. En revanche, c'est la déroute chez leurs rivaux de Red Bull : Webber fut éliminé dès les premiers hectomètres sur un accrochage, alors que Vettel fut condamné par des problèmes de tenue de route à une course anonyme, qu'il termine huitième. Le Grand Prix d'Italie s'avère donc décisif pour l'attribution des titres, comme souvent.

Les Brawn, en difficulté lors des essais libres du vendredi, s'imposent grâce à une remarquable maîtrise tactique, avec une stratégie à un seul arrêt. Le seul à pouvoir les inquiéter fut Lewis Hamilton, en deux arrêts et auteur de la pole position. Le Britannique revenaient sur les deux monoplaces blanches en fin de course. Rattrapant Button dans le dernier tour, il tenta le tout pour le tout afin de rester au contact et de pouvoir utiliser son SREC... mais, accélérant trop tôt à sortie du redoutable virage de Lesmo, il partie en tête-à-queue à haute vitesse et alla s'écraser violemment dans les glissières. Le pilote en sortit indemne mais les débris projetés sur la piste obligèrent la direction de course à placer l'ensemble du circuit sous drapeaux jaunes, neutralisant de fait le dernier tour.

Ainsi, c'est Raikkonen qui complète le podium avec sa Ferrari. Comme à Spa, le Finlandais eut fort à faire pour résister aux assauts d'une Force India, cette fois celle de Sutil - incapable toutefois de passer la Ferrari à cause du SREC de celle-ci. Le nouvel équipier de Sutil, Vitantonio Liuzzi, aurait peut-être pu faire mieux grâce à une stratégie similaire à celle des Brawn, mais sa boîte de vitesse en décida autrement. Sur ce circuit où les moteurs parlent, la mainmise des Mercedes s'est avérée complète : les six voitures motorisées par le constructeur allemand se classèrent dans les sept premiers des essais et quatre d'entre elles achevèrent la course parmi les six premiers.

Alonso prend la cinquième place devant Kovalainen, Heidfeld et Vettel. Nouveau venu chez Ferrari, Giancarlo Fisichella doit se contenter de la dixième place après week-end difficile.

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