The Reanimator a écrit:
L'arbre généalogique, que je ne trouve pas inutile, personnellement ...
Ah oui, en effet. Merci !
Il manque juste un moyen d'identifier les personnes décédées (a minima Michel Villemin et, bien sûr, Bernard Laroche).
Metronomia a écrit:
Le problème ici, c'est que ce sont les analyses graphologiques qui viennent de faire avancer l'enquête. Or, comme précisé dans l'article du Figaro, pas sûr que ce soit assez fiable pour être décisif.
L'article cite un commentaire vieux de près de 25 ans. La discipline a pu progresser depuis. Du point de vue de la comparaison des écritures, s'entend. Mais s'il n'y a que ça comme preuve, ça va être léger, c'est certain.
Citer:
L'autre souci est le fait que les interpellés ne veuillent pas parler. Mais rien d'étonnant à cela. Ils se taisent fermement depuis plus de 30 ans, je ne vois donc pas par quel miracle ils se mettraient à parler soudainement, puisqu'ils ont résisté à toites les pressions jusqu'à présent (mais sait-on jamais...)
Pas mieux. Il va être difficile de tirer quoi que ce soit de vieux taiseux vosgiens. Quand bien même ils seraient effectivement impliqués, il me paraît douteux qu'ils parlent parce que d'une certaine manière, se taire fait partie de leur "vengeance" : en maintenant Jean-Marie Villemin dans l'incertitude, ils continuent à exercer un pouvoir sur lui. Y compris lorsque eux-mêmes auront disparu.
Citer:
Tout cela est tellement glauque... Rien ne justifiera jamais un tel crime. Et quand on pense que tout cela s'est produit uniquement parce que Jean-Marie Villemin fanfaronnait (de son propre aveux) un peu trop sur sa réussite sociale, ça donne un vertige faramineux...
Tuer un enfant juste par jalousie envers le père de celui-ci... La barbarie est parmi nous. Pas besoin d'aller la chercher à Raqqa.
Concernant Christine Villemin, je me demande dans quelle mesure elle n'a pas fait l'objet d'un acharnement similaire à celui dont fut victime
Lindy Chamberlain quelques années plus tôt (dans le cas de cette dernière, il était surtout basé sur le fait que Mme Chamberlain ne montrait pas ce que le public attendait d'une mère éplorée, critiques ensuite amplifiées par les médias).