Pochel lui-même a écrit:
Pour ma part, je pense que :
Ah ! et j'avais oublié de rajouter, par rapport au débat sur l'opposition ville/campagne, que je rejoins largement Métronomia, et que je préfère de loin vivre dans une ville agréable que dans la nature, aussi verte soit-elle. Bordeaux, par exemple, est une ville extrêmement agréable, qui surpasse pour moi toute la campagne du monde. En revanche, comme vous l'avez déjà fait remarquer, le problème de la banlieue n'est pas la ville en soi, mais la totale déshérence de ces quartiers.
Chimère a écrit:
J'ai juste dit que nous devrions avoir l'humilité d'aller regarder de plus près pour voir ce qu'il y a d'intéressant chez les "autres" (du passé, mais aussi du présent, je rappelle qu'il y a encore pas mal de peuples Premiers sur la Planète, et qu'ils méritent sans doute plus de respect que ce que l'on a bien voulu leur accorder jusqu'à présent. Même si les choses changent, heureusement) pour essayer de voir ce que nous pourrions y puiser à appliquer à notre société et notre civilisation pour l'élever, l'édifier, la rendre meilleure en tous points...
Probablement, et c'est sûr que notre rapport aux peuples "premiers" (avec beaucoup de guillemets pour certains d'entre eux) est souvent inacceptable.
Sauf que toujours, dès lors que l'on parle d'améliorer la société, il faut voir en quoi. Et surtout, si c'est vraiment cela que souhaitent ses membres.
Édit :Chimère a écrit:
"mais je pense qu'il y a quand-même dans ces cultures une approche globale du monde qui est plus intéressante que dans notre culture purement matérialiste qui n'a, justement, plus aucune philosophie ni approche du monde...").
Ah oui, il y avait ça, aussi.
Personnellement, je ne pense pas qu'on puisse dire d'un peuple qui n'a jamais quitté les 50.000 km² de son territoire, et qui pense que les cactus proviennent des pattes coupées d'un ours géant maléfique, aient une vision du monde plus globale que la nôtre.
Nous sommes justement la première civilisation à avoir une approche
littéralement globale du monde. Nous avons été partout. Et si nous savons que les cactus ne sont pas les restes d'un ours maléfique, c'est justement que notre science est tellement poussée, gigantesque, englobante, qu'elle s'intéresse à toutes les formes de vie que l'on rencontre sur terre, qu'elle les connaît absolument toutes par leur nom & prénom.