Jamais entendu parlé non plus de cette histoire.
Ce serait pas mal de dégotter une copie des "Chroniques d'Akakor", ça doit être quelque chose.
EditCiter:
La parole est à Tatunca Nara :
La chronique d'Akakor est l'histoire écrite de mon peuple. Elle débute à l'Heure zéro, quand les dieux nous abandonnèrent. En ce temps-là Ina, le premier prince des Ugha Mongulala, décida de faire consigner par écrit ce que l'on racontait, en exigeant que ce texte fût rédigé dans une langue correcte et d'une manière lisible.
La chronique d'Akakor rapporte l'histoire du plus ancien peuple de la terre, depuis le commencement, depuis l'Heure zéro où les anciens maîtres nous ont quittés ... Elle relate l'aurore des temps, une époque où mon peuple était encore le seul peuple du continent
Au début était le chaos ...
Les hommes vivaient comme des bêtes, sans raison et sans savoir, sans lois et sans travailler la terre, sans se vêtir ni même couvrir leur nudité. Les secrets de la nature leur étaient étrangers. Ils vivaient par deux, par trois, dans des cavernes ou des fissures de rochers découvertes par hasard. Ils marchaient à quatre pattes. Ainsi jusqu'au jour où vinrent les dieux. Les dieux leur apportèrent la lumière.
Nous ne savons pas quand tout cela est arrivé. Nous ne savons que vaguement d'où venaient les étrangers. L'origine de nos anciens maîtres se dissimule sous un voile épais que n'arrive même pas à soulever la science des prêtres. Selon la tradition héritée de nos ancêtres, la chose se serait produite 3 000 ans avant l'Heure zéro - 13 000 ans avant J.-C. selon la chronologie des Barbares blancs. C'est alors que seraient soudainement apparus dans le ciel des navires qui étincelaient comme de l'or. De prodigieux signes de feu illuminèrent la plaine. La terre se mit à trembler et le tonnerre à rouler sur les collines. Les hommes s'inclinèrent avec respect devant les puissants étrangers qui arrivaient pour prendre possession de la terre.
Les étrangers déclarèrent être originaires de Chverta, un monde très éloigné, situé aux confins du cosmos. C'est là qu'avaient vécu leurs ancêtres. C'est de là qu'ils étaient partis pour apporter leur science aux autres mondes. Selon nos prêtres, Chverta était un puissant empire, formé de nombreuses planètes, aussi nombreuses que les grains de poussière sur la route. Toujours selon nos prêtres, le monde de nos anciens maîtres et la terre entreraient en contact tous les six mille ans, quand reviennent les dieux.
... Qui peut comprendre ce que font les dieux ? Qui peut comprendre leurs actes ? Car ils étaient puissants, en vérité, d'une manière incompréhensible au commun des mortels. Ils connaissaient la marche des constellations et les lois de la nature. En vérité, ils connaissaient la loi suprême de l'univers. Cent trente familles descendant de leurs patriarches arrivèrent sur la terre.
La chronique d'Akakor est l'histoire écrite du peuple Ugha Mongulala. Elle débute en l'An zéro, quand les anciens maîtres s'en allèrent. En ce temps-là Ina, le premier prince des Ugha Mongulala, décida de faire consigner par écrit tous les événements, dans une langue correcte et d'une manière lisible, avec le respect de rigueur pour nos anciens maîtres ...
Akakor, capitale de l'empire Ugha Mongulala, a été bâtie voici 14 000 ans par nos ancêtres, sous la direction des anciens maîtres. C'est eux qui lui ont donné son nom. Aka veut dire forteresse, Kor signifie deux. Akakor est la seconde forteresse...
Les villes saintes des patriarches sont demeurées mystérieuses pour notre peuple. La manière dont elles sont construites témoigne d'un savoir élevé, incompréhensible pour le commun des mortels. Selon les dieux, les pyramides n'étaient pas seulement des demeures mais aussi des symboles de la vie et des symboles de la mort. Elles symbolisaient le soleil, la lumière, la vie. Les anciens maîtres nous ont enseigné qu'il existe un endroit entre la vie et la mort, entre la vie et le néant, où règne un autre temps. Les pyramides, d'après eux, assuraient la communication avec une seconde vie...
Les seigneurs du cosmos, les êtres du ciel et de la terre ont créé les quatre coins et les quatre côtés du monde ...
C'est à partir d'Akakor que les dieux exerçaient leur domination. Ils dominaient les hommes et la terre. Ils avaient des vaisseaux plus rapides que le vol d'un oiseau. Des vaisseaux qui, sans voiles ni rames, atteignaient leur but de jour et de nuit. Ils avaient des pierres magiques permettant de voir au loin. On voyait des villes, des fleuves, des collines, des lacs. Tout ce qui se trouvait sur la terre et dans le ciel s'y réfléchissait. Mais le plus merveilleux était les demeures souterraines. Et les dieux les donnèrent à leurs serviteurs élus, par testament. Car les anciens maîtres sont du même sang et ont le même père ...
Le jour où les dieux quittèrent la terre ils firent venir Ina ... et lui dirent : « Ina, nous partons pour rentrer chez nous. Nous t'avons donné de bons conseils et inculqué de sages principes. Nous retournons chez les nôtres ... Notre tâche est terminée. Nos jours se sont accomplis ... Nous reviendrons quand vous serez menacés. Maintenant prends avec toi les tribus élues. Emmène-les dans les demeures souterraines pour les mettre à l'abri de la catastrophe qui va se produire. » Et Ina les vit monter au ciel avec leurs navires, dans le tonnerre et le feu. Ils disparurent au-dessus des montagnes d'Akakor. Seul Ina assista à leur départ.
C'est à l'Heure zéro - 10 481 ans avant J.-C. selon la chronologie des Barbares blancs - que les dieux quittèrent la terre. Ils marquèrent le début d'un nouveau chapitre de l'histoire de mon peuple qu'attendait un effroyable destin après qu'eurent disparu, ainsi que des étoiles dans le ciel, les navires étincelants comme de l'or des anciens maîtres ...
Les serviteurs élus n'avaient que l'image des dieux dans leur coeur. Ils eurent beau élever des regards brûlants vers le ciel, les vaisseaux étincelants comme de l'or ne revinrent plus. Le ciel fut vide. Silence. Le ciel demeura vide ...
La chronique d'Akakor recèle les secrets des tribus élues... Elle décrit l'ascension et la décadence d'un peuple élu par les dieux jusqu'à la fin du monde, jusqu'au jour où ils reviendront après une troisième grande catastrophe qui détruira l'humanité ...
Voilà ce qui est écrit. Ce que disent les prêtres. Ce qui est consigné par écrit, dans une langue correcte et d'une manière lisible.
Natuna Nara décrit ensuite deux catastrophes générales, qui anéantirent presque totalement l'humanité. 14 468 ans avant
J.-C. se serait produit un inimaginable déluge, accompagné d'un bouleversement de climat :
Ceci est l'histoire du déclin de l'humanité. Qu'arriva-t-il à la terre ? Qui la fit trembler ? Qui fit danser les étoiles ? Qui fit jaillir les eaux des rochers ? ... Il fit terriblement froid, et un vent glacial balaya la terre. Il fit très chaud, et les hommes brûlèrent en respirant. Les hommes et les animaux s'enfuirent, pris de panique. Ils coururent, affolés, de-ci de-là. Ils essayaient de grimper aux arbres, et les arbres les projetaient au loin. Ils essayaient de gagner les cavernes, et les cavernes s'effondraient sur eux. Ce qui était en bas se retrouva en haut. Ce qui était en haut sombra dans l'abîme ...
Quand les survivants sortirent en rampant de leurs refuges la terre leur apparut transformée, mais les Ugha Mongulala avaient survécu à cette catastrophe, tout comme ils survécurent à une autre, aussi effroyable. Et les dieux si longtemps désirés revinrent enfin
Le crépuscule régnait encore sur la face de la terre. Le soleil et la lune étaient voilés. C'est alors qu'apparurent dans le ciel des vaisseaux imposants et dorés. Grande fut la joie des serviteurs élus. Leurs anciens maîtres revenaient. Ils revenaient sur la terre et leur face étincelait. Et le peuple élu brandit ses présents : des plumes du grand oiseau des bois, du miel d'abeilles, de l'encens et des fruits. Voilà ce que les élus déposèrent aux pieds des dieux ... Tous, jusqu'aux moindres d'entre eux, se levèrent dans les vallées et élevèrent leurs regards vers les patriarches. Mais il n'était guère de survivants ... Seul un petit nombre étaient encore en vie pour saluer les anciens maîtres ...
C'est ainsi qu'il n'est plus resté à mon peuple ... que le souvenir ... Par exemple les rouleaux de papier couverts d'écriture et les pierres vertes. Nos prêtres les ont conservés dans les quartiers souterrains des temples d'Akakor, là où se trouve aussi le disque volant de Lhasa ainsi que l'étrange véhicule qui peut se déplacer sur l'eau et sur les montagnes. Le disque volant brille comme de l'or, il est fait d'un métal inconnu. Il a la forme d'un rouleau d'argile, la hauteur de deux hommes superposés et la même largeur. Deux hommes peuvent prendre place dans ce disque, qui n'a ni voiles ni rames. Mais nos prêtres racontent qu'il permettait à Lhasa de voler plus vite que le plus puissant des aigles et de se mouvoir dans les nuages avec la légèreté d'une plume au vent. Tout aussi mystérieux est l'étrange véhicule. Il a sept longues pattes qui portent une vaste coque argentée. Trois de ces pattes sont tournées vers l'avant, quatre vers l'arrière. Elles ressemblent à des tiges de bambou recourbées et sont mobiles. A leur extrémité se trouve une roue grosse comme un nénuphar...
Voilà comment cela est relaté par la bande magnétique enregistrée et traduite par Karl Brugger. C'est l'histoire vécue et mémorisée par une tribu sud-américaine, 13 000 ans avant J.-C. Selon
Brugger les « anciens maîtres », les « dieux » vinrent sur la terre et façonnèrent « à leur image » ceux qu'ils rencontrèrent, ils leur donnèrent des noms, le langage et l'écriture, ils leur enseignèrent l'agriculture, ils édictèrent des lois dont certaines sont encore en vigueur, ils leur léguèrent les demeures souterraines pour s'y réfugier en cas de catastrophe. Ce récit nous vient d'une bouche autorisée, car voici ce que dit Tatunca Nara lui-même, à son propre sujet
« A la fin de la saison des pluies de l'an 12 416 - 1937 selon la chronologie des Barbares blancs - se produisit à Akakor un événement souhaité depuis longtemps : Reinha donna le jour à un fils nommé Sinkaïa. Le fils premier né de Sinkaïa c'est moi, Tatunca Nara, le dernier prince légitime des Ugha-Mongulala... »
A l'époque purement matérialiste où nous vivons le récit de Tatunca Nara paraît invraisemblable parce que rien de fantastique ne trouve sa place dans la conception « bien tempérée » que nous nous faisons du monde. Nous collons sur le fantastique l'étiquette « invraisemblable » et nous nous dépêchons de l'oublier. Or ce récit indien abonde en faits réels, pour qui parvient à se libérer de l'esprit de notre temps et qui connaît tant soit peu du sujet ici traité. Comment mes adversaires vont-ils réagir à l'histoire suivante ?
Le 18 octobre 1976 l'A.F.P. annonçait, de Mexico, la découverte du squelette d'un être inconnu, d'origine peut-être extraterrestre. Selon le directeur du musée d'anthropologie local il s'agissait en effet d'un être jusqu'alors inconnu sur la terre, dont le squelette comportait une colonne vertébrale, des épaules, des ébauches de bras et un crâne analogue à celui d'un chien mais dépourvu d'orbites et présentant un début de trompe.
Voilà qui me rappelle certaine description de Tatunca Nara:
"Au milieu de la pièce dont les murs irradiaient une mystérieuse clarté se dressaient quatre blocs d'une pierre transparente. Je m'en approchais avec respect et je vis qu'ils contenaient quatre êtres mystérieux. Quatre morts vivants. Quatre êtres endormis : trois hommes et une femme. Ils baignaient jusqu'à la poitrine dans un liquide. Ils étaient en tout semblables aux hommes, à cette différence près qu'ils avaient six doigts et six orteils. Des dieux endormis."
Serait-ce un « dieu endormi » que l'on a découvert dans le sol du Mexique ?
Sources:"Mes preuves" d'Erich Von Daniken-Editions Albin Michel
Bein tiens... Je suis sûr qu'en lisant plus avant ce bouquin, on trouverait un crâne de cristal ou un frigo anti atomique...