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Je lui reproche sa façon de décrire les croyants en eux-mêmes comme des sortes d'handicapés intellectuels qui ont besoin de la religion comme d'une béquille mentale.
C'est pourtant le cas, au moins au niveau d'une vie éternelle.
Après on peut se sentir élu, être celui qui a compris ce que d'autres ne comprennent pas, ça aide à tout supporter, et parfois ça peut même servir d'alibi pour mal se comporter.
Dans certaines religions on peut toujours se racheter c'est pratique.
Je le vois comme lui, la croyance même en dehors des religions est une béquille, quelque chose ne va pas, on y trouve des réponses, le fait d'avoir compris, ça enchante le réel si laid, etc.
C'est un réconfort quand on arrive pas a affronter la réalité, sinon pourquoi croire ?
Comme je dis souvent : si il n'y avait pas un paradis à gagner, une vie éternelle se comporterait on autrement ?
Pour certains c'est peut-être oui, donc c'est pour eux pour gagner quelque chose qu'ils se comportent "bien", il faut plaire au maître qui récompense.
Pour d'autres ça serait non, mais alors dans ce cas quel besoin de dieu ? Tout fonctionne pareil sans lui. Sans la méditation sans tout ça.
Croire est un besoin pour le croyant, ça comble un manque, soigne une angoisse.