Ce à quoi elle a rajouté dernièrement que « il a fallu que [les universités, qui se sont retrouvées sans moyen suite à la dernière réforme] apprennent à gérer et qu'elle se professionnalisent. C'est comme les enfants qui apprennent à marcher : ils tombent, mais si on ne les lâche pas, ils n'apprennent jamais. »

Cette métaphore des enfants qui apprennent à marcher est magique, elle fonctionne avec à peu près n'importe quoi.


L'effondrement, on vous le dit !

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Close the world, open the next

Oui, j'ai vu ça cet après-midi! J'ai d'abord cru à une bonne blague du Gorafi (ça m'arrive souvent avec les pouvoirs en place actuellement...)... Mais non, bien sûr...

Sinon, dans la lignée de cette discussion, sachez que ça s'écharpe fort sur la liste de diffusion de mon établissement actuellement, cela depuis la participation de certains intellos à la grande débâcle de la semaine passée.

Vous seriez surpris (ou pas) de voir à quel point les échanges - sensés être nourris par des chercheuses et chercheurs que l'on se plait à imaginer sages, refléxifs, posés, courtois - sont parfois dignes des plus mauvais clashes sur Twitter. Des invectives, des insultes... C'est magique (ou pas)! (Bon, j'avoue, personellement, je me délecte: c'est de l'or en barre pour mes archives personnelles... En plus, ça fait toujours du bien quand certains - pas les plus nombreux malheureusement - disent tout haut ce que je - et d'autres - pensent tout bas).

Et pour en revenir à nos moutons, Sylvestre Huet a justement publié pas plus tard qu'aujourd'hui un billet sur l'état de la recherche en France. Je ne suis pas toujours d'accord avec lui, mais sur ce coup-là, c'est un sans faute:

http://huet.blog.lemonde.fr/2019/03/25/ ... s-talents/

Bonne lecture!

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Titulaire d'un doctorat en fantomologie à Paranormal Sup

Huhu. Un de ces derniers week-ends un ami membre de Greenpeace m'a invité à faire la marche du siècle avec lui. Pendant la marche, on se disait justement que j'allais venir avec un gong et faire mon Philippulus. Ou alors que, comme tout le monde avait sa petite pancarte, que la mienne serait "VOUS ÊTES TOUS MORTS".

Ç’aurait été fun

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]