Si je me souviens bien , l'"Apocalypse" des mayas avait à voir avec une fin du monde qu'ils croyaient voir arriver non? ou les Aztèques?

"L'apocalypse maya" est la fin d'une ère du calendrier, pas la fin du monde.

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"A vaincre sans péril, on s'embête beaucoup moins" Pierre Corneille, Le Cid

Non, la date avancée correspondrait simplement à la fin de l'un des cycles qui constituent le calendrier maya. Mais en aucun cas il n'a été fait mention d'une quelconque fin du monde par ces derniers. On doit surtout les amalgames entre 2012 et fin du monde à des courants New Age qui se sont chargés d'en faire des interprétations. D'ailleurs la date de 2012 elle-même serait sujette à des erreurs de calcul, et n'est en aucun cas cautionnée par la communauté scientifique.

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On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux
(Antoine de Saint-Exupéry)

J'avais lu, mais je ne sais vraiment plus où, que tous les katun, période de 20 tunob, soit environ 20 ans (7 200 jours), les mayas faisaient comme si le monde devait cesser d'exister.

Ce soir là, ils cassaient la vaisselle et les meubles et attendaient le matin. S'ils étaient encore en vie, ils reprenaient leur vie comme si de rien n'était.

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La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, certains brillent en société... jusqu'à ce qu'ils l'ouvrent !

Les Mayas semblaient utiliser un système de numérotation qui faisait effectivement souvent intervenir le nombre 20. J'ai cru comprendre également que le décompte qui constitue la base de leur calendrier était basé entre autres sur l'observation de la planète Vénus.

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On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux
(Antoine de Saint-Exupéry)

C'est comme si ils célébraient une sorte de renaissance, une période est révolue, une nouvelle commence.
Le fait de passer à tabac leur mobilier devait être symbolique ?

Si je me souviens bien, ils cassaient tout et en refabriquaient le lendemain.

Mais la symbolique est bien là.

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La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, certains brillent en société... jusqu'à ce qu'ils l'ouvrent !

C'est qui Guy Degrenne et Geneviève Lethu qui devaient être contents....

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée