Oui voilà...
En clair, je pense que justement, le film aurait pu, et aurait sans doute été beaucoup mieux de mon point de vue, être encore plus "foutraque" comme tu dis Pochel. Il n'allait pas aussi loin que le livre, et de mémoire, c'est ce qui m'a semblé le plus dommage (mais bon, effectivement, pas sûr qu'Hollywood soit prêt pour ça... en tout cas, pas tout de suite... ).

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée

Ah, ça a l'air nettement plus intéressant, raconté comme ça ! Ça, j'aurais bien aimé le voir. Et ça explique aussi le côté un peu bancal de l'abat-jour magique, du coup. Si ça n'était pas dans le texte originel de Stephen King (dont j'ai oublié de signaler qu'il faisait un petit caméo dans le film, d'ailleurs).


Oui bon hein mais dans le film ils le prononçaient /t͡ʃud/ donc voilà
Et je ne me souvenais pas de l'orthographe du truc, donc je l'ai retranscris en l'assimilant à quelque chose que je connaissais déjà, c'est humain

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« C'est une paralysie du sommeil. Ou bien un orbe. » (vieille sagesse zététique).

Le truc avec les objets qui brûlent et la fumée magique rappellent un peu une fusion entre le rituel de Chûd et la cérémonie de la petite fumée, non ?

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]