Cela se voulait plus équilibré au départ, avec des pages ouvertes aux sceptiques. Au bout de quelques numéros, cette part de scepticisme a commencé à se réduire, notamment à mesure que croissait dans la revue la présence d'un certain Jean-Pierre P (vite brouillé, d'ailleurs, en raison de son ego démesuré).
En outre, la rédaction a réussi à se fâcher avec un paquet de sceptiques (moi compris) qu'elle a souvent pris de haut (chassez le naturel...), quitte à se planter ensuite dans les grandes largeurs. Bref, à présent, il ne reste plus guère à S&I que le tout venant du paranormal, pour le meilleur et surtout pour le pire. Je crois surtout que la bonne volonté de départ a été rattrapée par les réalités économiques : trop de scepticisme faisait baisser les ventes, parce que les lecteurs habituels de ce genre de presse veulent du rêve et surtout pas des empêcheurs de spéculer en rond comme Nem'.