Bonne question...
A mon avis, l'étude du "sujet" est primordiale dans ce genre de phénomène.
Et comme je le disais, dans le livre de Tizané, les quelques témoignages de ces personnes montrent qu'elles se sentaient généralement "soulagées" lors des "événements inexpliqués", que certains ressentaient même de la joie, et que de plus, lorsqu'ils avouaient avoir été les auteurs de "supercherie", ils avouaient même des faits qu'ils ne pouvaient pas matériellement avoir commis.
Un peu à la manière de ceux qui s'accusent d'un crime qu'ils n'ont pas commis juste pour attirer l'attention sur eux...