Le fait que l'âge d'or de la sorcellerie aie été le XVe siècle ne signifie pas qu'il n'y en avais pas avant.
Et sinon, c'est sûrement plus une considération de "sorcière" dans le sens "être humain maléfique femelle" que jeteuse de sorts au sens strict, non ? Comme "revenant" ou "vampire" pour "être humain maléfique mâle". Comme disait Ar Soner, une sorte de variante géographique du mort mâcheur...

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

C'est évident. Mais ce que je voulais dire, c'est que ce procédé d'inhumation semble assez inhabituel au regard de ce que l'histoire a retenu lors de l'époque des grandes persécutions. C'est la raison pour laquelle il me semble assez difficile de définir avec certitude qu'il pouvait bien s'agir là de sorcières, et pas d'autre chose, ou alors effectivement d'une coutume locale dont nous n'avions pas connaissance



Là encore c'est très difficile à définir. L'image de la sorcière a beaucoup évolué avec le temps et les époques. A l'origine, on prêtait par exemple aux sorcières des pouvoirs guérisseurs grâce à l'usage de certaines plantes. Je ne pense donc pas qu'elles aient forcément toujours été associées à une connotation maléfique. Néanmoins ça semblait être le cas lors de cette découverte, ce qui pourrait éventuellement justifier la présence de ces clous. Mais là encore de par le côté assez inhabituel de cette méthode, peut-être en réalité ne s'agissait-il pas de sorcières, mais effectivement plutôt d'une variante du mort-mâcheur par exemple.

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On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux
(Antoine de Saint-Exupéry)

Comme dit plus haut, la chasse aux sorcières est coutûmière de la période médiévale dans son ensemble. N'oubliez pas qu'au moindre malheur (catastrophe naturelle, épidémie...), on accusait les sorcières du coin (toute fille vivant de manière plus ou moins marginale). d'avoir excité le démon.

aussi je trouve pas ça improbable de les avoir enterrées en terres religieuses, c'est aussi un moyen de rompre le sort je trouve, moi c'est c'que j'aurais fait



Ils avaient une sacrée imagination à l'époque, faudrait être un vampire bien couillon pour aller oublier de manger des gens pour compter des graines

Pas plus que de ne pas pouvoir traverser un ruisseau ou un filet d'eau courante, ou de ne pas pouvoir rentrer chez une personne sans y avoir été invité... La peur de l'eau et le respect des règles de politesse auront la peau des vampires, même les plus affamés.

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Close the world, open the next

Ah l'eau je savais pas ! L'ail déjà c'était spé