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 Sujet du message: Alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 08:51 
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Réalisé par Tim Burton
Avec Johnny Depp, Mia Wasikowska , Michael Sheen, plus



Titre original : Alice in Wonderland
Long-métrage américain. Genre Fantastique, Aventure, Famille
Durée 1h49 min Année de production : 2009
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France



Synopsis : Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s'embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.

Source: allocine
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 32663.html
Je ne sais pas si j'arriverais à être objectif avec Tim Burton tellement je suis fan, et là qui plus est il a tappé un grand coup avec un histoire qui me touche depuis ma plus tendre enfance et qui est sans doute "MON" livre préferé.
Enfin je vais pouvoir avoir les images qui m'ont toujours trotté dans la tête..Lewis Caroll revisité par le maitre... ^^

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 10:08 
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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 10:27 
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J'attends aussi cette sortie avec impatience, j'adore Tim Burton, et avec Johnny Depp, ça ne se refuse pas... XD

Sinon, un petit article qui reprend les références à Alice aux Pays des Merveilles les plus connues... :think:

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Alice, de tous les côtés du miroir
Si avec la sortie de « Alice au pays des merveilles » vous imaginez que c'est la première fois depuis le dessin animé de Disney qu'on vous ressert du Carroll, vous vous trompez.

Alice, le Chapelier Fou, le chat de Cheshire... Vous reconnaissez ces personnages? Normal. Nés dans l'imagination du non moins célèbre Lewis Carroll au XIXe siècle, on les retrouve depuis dans une myriade d'œuvres naviguant dans un nombre important de registres. Prenez «Matrix» par exemple, on y retrouve le lapin blanc, qui entraîne Neo dans un monde parallèle. «Follow the white rabbit». C'est par cette phrase, qui sonne comme un catalyseur sur l'écran de l'ordinateur de Neo, que démarre le film. Le lapin blanc est le symbole d' «Alice» le plus représentatif, et marque l'arrivée de péripéties mettant à mal le sens logique des histoires.

«Follow the white rabbit»

«Matrix» est loin d'être le seul long-métrage à s'inspirer du livre de Carroll en utilisant un personnage comme le lapin. Le fantastique «Donnie Darko» (2001) est de ceux-là. Dans le film, Donnie, un adolescent de 16 ans, reçoit la visite d'un lapin démoniaque qui lui annonce la fin du monde dans 28 jours et le pousse à accomplir sa destinée. «Donnie Darko» pousse le spectateur à partager le mal de vivre du personnage principal, qui refuse de considérer l'adolescence comme un rite de passage. Le film de Richard Kelly est probablement l'œuvre qui apporte le plus de fraîcheur à cette histoire maintes fois revisitée par le cinéma.


Autre support de réflexion, «Le Labyrinthe de Pan» (2006) est quant à lui beaucoup plus fidèle à «Alice», dans le sens où l'on retrouve une petite fille, une forêt et un univers féérique. Les deux histoires se ressemblent à s'y méprendre. La petite Ofélia se réfugie dans un monde imaginaire pour fuir, non pas son malaise adolescent, mais le franquisme de l'Espagne d'après-guerre. Très politique, «Le Labyrinthe de Pan» est une deuxième lecture formidable de Carroll. Ici c'est plutôt Alice au pays des horreurs, mais Guillermo del Toro, l'autre pape du gothique - avec Tim Burton - signe un excellent film.


Tim Burton, encore lui, non content de livrer le nouveau «Alice» pour les studios Disney ce 24 mars, a également produit en 2009 le dessin animé «Coraline». Le film conte l'histoire d'une petite fille qui emménage dans une nouvelle maison. Dans sa grande solitude, elle y découvre une porte qui la mène vers un monde parallèle, guidée par un chat qui parle et qui dispose de la faculté de disparaître... Un film bien plus intéressant que le Walt Disney de 1951, qui s'inspire du chat du Cheshire plutôt que le fameux lapin blanc, pour une fois.

Le rock hippie s'approprie l'œuvre de Carroll

Si l'on a souvent considéré, à tort, le conte de Carroll comme une œuvre hallucinée faisant la part belle au psychédélisme, le cinéma ne s'est pas (encore) engouffré dans cette voie. Certes, la version de Disney le touche du doigt mais le rock des années 1960 l'a beaucoup plus développé. Au rang de figure de proue, les hippies de Jefferson Airplane qui reprennent encore le thème du lapin dans «White Rabbit». Parue en 1967, en plein milieu des années flower power, la chanson est une évocation explicite à la drogue et plus particulièrement au LSD. Avec ses paroles énigmatiques, elle fut l'une des premières à aborder ce thème sans être censurée par les radios:

Rien qu'une pilule et tu grandis, rien qu'une et te voilà petit. Celles que te donne ta mère n'ont aucun effet. Va, demande à Alice, lorsqu'elle mesure dix pieds de haut...


Les références sont nombreuses, avec les mentions d'Alice, du lapin blanc, de la reine de cœur, du loir et de la chenille fumant le narguilé. Associée aux psychotropes, cette chanson a pu être entendue dans de nombreux films mettant en scène la prise de LSD: «Platoon», «Las Vegas Parano», «Crazy», «La Vérité Nue»...

Les Beatles ont eux aussi contribué à placer «Alice» telle une figure du psychédélisme. Avec «I Am The Walrus» (1967), John Lennon livre une chanson directement issue de «De L'Autre Côté du Miroir» - le deuxième tome du roman, et plus particulièrement d'un poème qui s'y trouve, «Le Morse et le Charpentier» («walrus» se traduit en français par «morse»).


Toujours en 1967, Carroll fut aussi une source d'inspiration pour Syd Barrett dans le premier album des Pink Floyd, «The Piper at the Gates of Dawn». Plus tard, en 2002, Tom Waits sortira un album tout simplement intitulé «Alice», inspiré de l'amour interdit entre Lewis Carroll et Alice Lidell, la petite fille pour qui le pasteur écrivit le livre en 1865.

Marylin Manson n'est pas en reste, et celui qui travaille actuellement à la réalisation d'un biopic retraçant la vie de Carroll est l'auteur de «Eat Me, Drink Me» (2007), un album intégralement lié au roman avec un titre rappelant une nouvelle fois le lapin (Are You The Rabbit?).

D'autres comme les Français d'Indochine et la gagnante de la Star Academy 2 Nolwenn Leroy s'y sont essayés. Un échec, n'est pas Barret ou Lennon qui veut.

Alice, le creuset entre Super Mario et Deleuze

Les jeux vidéo ont également eu droit à leur Alice, et l'un des plus grands personnages numériques de tous les temps y trouve son essence. Super Mario, le plombier de Nintendo qui grandit et rapetisse quand il absorbe des champignons, ça ne vous dit rien?

L'adaptation vidéoludique la plus intéressante est toutefois à mettre au profit du studio Rogue Entertainment. Sorti en l'an 2000, «Americain McGee's Alice» est une suite hallucinée et sanglante de deux livres de Lewis Carroll. Le scénario est saisissant. Après le massacre de ses parents en 1894, Alice se retrouve internée et soignée pendant 10 ans par un médecin détraqué. Suite à son traumatisme, l'univers joyeux de l'enfant se retrouve transformé en un enfer sombre et chaotique, où la Reine de Cœur fait régner le cauchemar et l'horreur. Un bijou d'ambiance qui n'a pas été démenti depuis.


L'horreur, c'est aussi le crédo qu'a choisi le québécois Patrick Senécal, pour son roman «Aliss» (2000), sorte de transposition de l'histoire originale dans un monde contemporain. Son pays des merveilles est ici remplacé par un quartier malfamé dont personne n'a entendu parler. Les personnages sont tous inspirés du livre original, par exemple Charles qui représente le lapin blanc et ressemble physiquement à Carroll, porte le même prénom que lui (Lewis Carroll s'appelant en réalité Charles Dodgson). Ils ont tous les deux enseignés à Oxford, et en plus de bégayer, partagent une passion commune : la compagnie des fillettes.

Et puis, impossible d'évoquer «Alice» sans aborder la «Logique du sens» de Gilles Deleuze, publié en 1969. Il fait reposer sa théorie sur l'analyse des paradoxes et cherche à déterminer le statut du sens et du non-sens, à travers l'œuvre de Lewis Carroll dans un monument de philosophie moderne. Deleuze explique d'ailleurs très bien le succès auprès du public:

Elle a tout pour plaire au lecteur actuel : des mots splendides, insolites, ésotériques ; des grilles, des codes et décodages ; (...) un contenu psychanalytique profond, un formalisme logique et linguistique exemplaire. Et par-delà le plaisir actuel quelque chose d'autre, un jeu du sens et du non-sens, un chaos-cosmos.

Grégory Raymond


http://www.slate.fr/story/18519/alice-reloaded

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:13 
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Hum, je voudrais pas vous faire peur, mais... je connais une québécoise qui est allée le voir, et qui s'attendait à quelque chose de super (elle adore Alice au Pays des Merveilles et apprécie Tim Burton), ben apparemment elle a été extrêmement déçue. Elle a même conseillé d'attendre qu'il sorte à la location, parce que ça coûtait moins cher que le cinoche... :?

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:26 
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Mouais, personnellement j'en ai plus que marre des films qui ressemblent de plus en plus à de longs clips à la gloire des effets spéciaux

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:27 
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Linele a écrit:
Pour le coup tu as même changé ton avatar en conséquence

Ouai :mrgreen:
Herr Magog a écrit:
elle a été extrêmement déçue.

Les effets visuels accroche en tout cas, ensuite l'histoire ben c'est vrai que le synopsis paraît assez simple mais bon.

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:29 
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J'ai retrouvé sa critique du film (en plus elle a pas sa langue dans sa poche :crazy: )

Spoiler :
Alice au pays des merveilles

Je vais vous donner un bon conseil. Louez-le !

La put*** de déception ! Les gens attendaient carrément UN TRUC, UN SEUL, qui pourrait les faire rire autant qu'ils le souhaitaient ! >.< J'hallucine ! L'idée de base était pas mal. Mais quand je vois ce qu'ils ont fait... Il y a tellement de longueur, une fin en demi queue de poisson. Mon personnage préféré d'Alice à été changé ! Le chat de cheshire ! Il est tout gentil et tout ronron ! >.< Mais non ! Il est pas comme ça, pas du tout ! Et le chapelier ! LUI ! ARGH ! Jack Sparrow, avec un once de QI plus élevé !

Et son put*** de corbeau et de bureau ! Mais bordel ! Ils ont fait du copier/coller pour les scénars ? Et Alice ! ALICE !! Un cadavre complexé de la vie !

Le seul point positif de ce film ?

LE GÉNÉRIQUE ! >.<

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:31 
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Personnellement... ce n'est pas les critiques qui m'empêchent d'aller voir un film que j'ai envie d'aller voir.
De plus, je me rappelle que le précédent, Sweeney Todd, avait déçu pas mal de fans de Burton... sauf que moi, j'avais adoré ce film, ça doit être un de mes préférés de Burton. :think:
Alors bon... :roll:

Citer:
Mouais, personnellement j'en ai plus que marre des films qui ressemblent de plus en plus à de longs clips à la gloire des effets spéciaux


Personnellement, je trouve plutôt fascinant de voir l'évolution des techniques visuelles, la réécriture du langage cinématographique, une nouvelle façon de raconter des histoires... Je comprends les réalisateurs, avec les outils fantastiques qu'ils ont dans les mains, qui cherchent à pousser de plus en plus loin les limites du possible technique. Je trouve ça exaltant... :)

Mais ça ne m'empêche pas aussi d'aller voir d'autres choses, il faut de tout pour faire un monde, le cinéma est de plus en plus diversifié si on prend le temps de s'y intéresser... :think:

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:35 
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En l'occurence, elle est apparemment plus fan d'Alice au pays des Merveilles que de Burton. Enfin détrompez-vous, hein, je veux pas vous empêcher d'aller le voir ! ;)

Surtout que je l'ai même pas vu (et que de toute façon c'est pas dans mes projets).

Pour réagir à ce que dit Baba Yaga, je pense également que le plus important c'est le scénar. Je peux trouver complètement naze un film avec des jolis effets spéciaux (style Avatar... :mrgreen: ), et à l'opposé, un film super malgré des effets spéciaux... approximatifs. :mrgreen:

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 Sujet du message: Re: alice in wonderland
MessagePublié: 16 Mars 2010, 11:45 
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Chimère a écrit:
Personnellement, je trouve plutôt fascinant de voir l'évolution des techniques visuelles, la réécriture du langage cinématographique, une nouvelle façon de raconter des histoires... Je comprends les réalisateurs, avec les outils fantastiques qu'ils ont dans les mains, qui cherchent à pousser de plus en plus loin les limites du possible technique. Je trouve ça exaltant... :)


Ce qui me saoûle, c'est que ces techniques visuelles sont trop souvent utilisée pour masquer le vide de l'histoire, du scénario, des personnages. Beaucoup de films, particulièrement américains, ne sont plus qu'une succession d'effets (spéciaux, de mise en scène, de caméra) qui dans le fond n'apportent absolument rien à l'histoire. Je n'ai rien contre le cinéma de divertissement tant que le réalisateur ne se laisse pas aller à faire du vide. A titre d'exemple, pour avoir revu récemment la saga Star Wars sur M6, le Yoda en caoutchouc est carrément plus vivant et intéressant que le Yoda en images de synthèse.

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