Le coup des dizaines de fins alternatives montrent la pauvreté du scenar qui peut finir absolument ni'mporte comment. Quand un film propose 2 fins, pourquoi pas mais là, c'est abusé ! J'attends d'un scénariste qu'il écrive du début à la fin une histoire, pas qu'il ne sache pas terminer...
En plus, ça fait encore le buzz, c'est encore un truc marketing ! De toute façon, il est là le vrai concept du film : comment faire parler d'un film qui ne vaut rien. Et ça marche.

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Winter is coming...

Cela dépendra du contenu des fins alternatives.
Parce qu'en faisant dans l'absurde, on peut facilement faire grimper les chiffres !

Attention, spoiler de SH2.

J'ai aussi pensé à Silent Hill en postant mon message.
Ceci dit, je trouve que l'emploi de fins multiples se justifie plus pour un jeu vidéo que pour un film et qu'il est justement intéressant de voir l'effet des choix réalisés au cours du jeu sur le dénouement de l'histoire.
Pour ceux qui connaissent, c'était assez bien exécuté dans Chrono Trigger, par exemple.

Je peux comprendre qu'un film ait deux ou trois fins mais j'ai du mal à concevoir qu'il puisse en avoir vingt. Cela me donne l'impression que les producteurs n'ont pas été capables de faire le tri entre leurs bonnes et leurs mauvaises idées et ont profité des faibles coûts de production pour filmer tout ce qui leur passait par la tête. J'ai aussi peur que le nombre de fins différentes diminue l'impact de la "vraie" fin. À titre purement personnel, j'ai du mal à m'imaginer regarder les vingt fins différentes d'un film, même (et surtout ?) si la plupart d'entre elles sont des gags : j'aurais trop l'impression de regarder un bêtisier...

Je suis assez dubitatif, mais vu que je n'ai vu ni Paranormal Activity 1 ni sa suite, je suis peut-être mal placé pour critiquer...

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Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.

Oui, les fins alternatives ça peut être sympa. Pour L'Effet Papillon il y en a trois ou quatre je crois, et pour le Paranormal Activity premier du nom il y en a trois également.

Mais bon, vingt, c'est absurde... Autant en faire cinquante, tant qu'à faire !
Ça veut dire quoi, concrètement ? Qu'on est obligé de voir vingt fois le film avec chacune des fins à chaque fois ? Parce que bon, les regarder toutes seules, ça n'a guère d'intérêt...

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]