Sachons aussi qu'en aucun cas Godzilla ne peut être un iguane puisqu'il est amphibie.

Hybrid iguanas have sharp claws and can climb on cacti and also eat seaweed underwater. It is held that the hybrid iguana can survive in both sea and land environment.[2][3] Despite their long separation time and there being two distinct species from different genera, the offspring are viable, although likely sterile.[4] The hybrid iguanas have a laterally compressed tail like that of the marine iguanas, but they have not been seen swimming. They also have sharp claws like their marine fathers, which enable them to climb for food rather than waiting for it to drop from a cactus as the land iguanas do.[1]

Un sphénodon, tu es sûr ? De mémoire, les essais ont lieu en Polynésie et les premières images du film montrent un iguane commun (qui n'aurait rien à y faire, d'ailleurs, cette espèce étant uniquement présente sur le continent américain).

En ce qui concerne la reproduction du Godzilla de Roland Emmerich, elle ne peut s'expliquer que si l'animal est une femelle dotée de la capacité de parthénogenèse (chose que l'on retrouve chez de nombreux batraciens mais chez les reptiles aussi ; le dragon de Komodo est connu pour se reproduire occasionnellement par parthénogenèse).
Je ne crois pas me souvenir que l'hermaphrodisme strict existe chez les vertébrés, avec des animaux qui seraient à la fois mâles et femelles et qui pourraient se reproduire avec succès (or cas pathologiques). Certains batraciens (et reptiles !) pratiquent cependant un hermaphrodisme séquentiel, c'est-à-dire que les individus vont être changer de sexe au cours de leur vie pour être tantôt mâle ou femelle (mais ils ne seront jamais les deux en même temps).