Ça faisait un petit moment que je n'avais pas publié, je me remet doucement à l'écriture d'articles...

Voici le premier né d'une nouvelle petite série : le bunyip.
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/Bunyip

Tous remarques ou commentaires sur le fond et la forme (il y a probablement quelques petites fautes ci et là que je n'ai pas vu) sont les bienvenus !

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J'ai corrigé deux-trois trucs ("un" pour "une", un oubli d'apostrophe, quelques points-virgules qui seraient mieux en deux-points...). Il y a juste un bug d'affichage d'exposants que je n'ai pas réussi à arranger...

Rien à dire sinon. J'aime beaucoup l'histoire du bunyip de Challicum !

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

So you better come home quickly
And you better hide very soon
Or the Bunyip’s going to get you



Ça me paraît être un très bon article !

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Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.

Ce n'est pas quelque chose d'isolé, les aborigènes étaient des spécialistes du land art. Ils faisaient des alignements de pierres sur plusieurs centaines de kilomètres pour matérialiser les "song lines" (les chemins que les ancêtres mythiques ayant façonnés l'Australie étaient supposés avoir empruntés) ou les lieux liés à des évènements particuliers du dreamtime.
On trouve des sites de ce type un peu partout en Australie mais ils sont souvent dans des endroits inaccessibles, peu mis en valeur, voire complètement perdus dans la végétation car les aborigènes eux-mêmes (qui ont perdu cette tradition depuis longtemps) ne les entretiennent plus.

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J'ai trouvé ce que cette silhouette me rappelle : une baleine à bosse qui nage.





Moi qui ai toujours aimé les baleines. Pas étonnant que ça me touche

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Si le bunyip de Challicum est une baleine à bosse, alors c'est un individu juvénile (parce que 9 mètres, c'est la moitié de la taille d'une baleine adulte).

Tu noteras que si on regarde la silhouette dans l'autre sens, avec la tête à gauche, on dirait plutôt la forme d'un émeu. Ce qui n'est pas si surprenant, cet oiseau jouant un grand rôle dans la mythologie aborigène...

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Ouais mais bon, un émeu de 9m de long...

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Très bon article

A vrai dire, cela faisait longtemps que j'attendais un nouvel article sur un élément de folklore aborigène

Sinon, il existe une bonne raison pour laquelle il n'existe pas de marsupiaux aquatiques ou volants dormant la tête en bas : c'est le risque important de faire tomber, de noyer, d'étouffer ou de perdre les petits...

Ok pour le risque de noyade du petit dans la poche ventrale.
En revanche, la poche des marsupiaux possède un sphincter de façon à retenir le (ou les) petit(s) quoi qu'il arrive, ce qui est nécessaire chez certaines espèces arboricoles comme les koalas qui possèdent une poche dont l'ouverture pointe vers le bas. On pourrait donc tout à fait imaginer des marsupiaux volants (au demeurant il y en a, comme les phalangers volants, qui savent déjà planer d'arbre en arbre).

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D'ailleurs, le fait que les koalas aient une poche qui pointe vers le bas est souvent considéré comme une des nombreuses preuves de l'évolution, étant donné que c'est particulièrement peu avantageux. Dawkins cite cet exemple dans un de ses bouquins, en tout cas...