Entre
Poche a écrit:
Comment dire... c'est un tout. Le gros monsieur, le filmage chaotique (pour ne pas dire parkinsonien), les petites crasses qui tombent en neige sans interruption, les deux petits personnages dessinés qui remuent du boule (et qui ont un ballon planté dans le cul, ceci n'ôtant rien à cela), ce gâteau tout droit sorti du tout premier Adibou, le fait que le gros monsieur soit en string, et surtout l'explosion synchronisée de tous ces petits cœurs au milieu d'un texte qui n'arrête pas de changer de couleur... Si on n'était pas encore épileptiques, c'était le meilleur traitement que tu pusses nous offrir !...
et
Métro a écrit:
Eh bah moi, j'y vois un homme libéré des conventions qui a décidé de dire m-e-r-d-e à tout et qui choisit de danser son bonheur à la face du monde, ainsi que deux petits personnages qui twerkent divinement — avec talent et grâce — en dépit des ballons dans le fondement (en vrai, t'as déjà essayé? C'est pas facile facile...). C'est de l'art, c'est beau, c'est la vie. Amen. (Comment ça, je m'emballe?

)
mon coeur balance... Le filmage, les crasses, les 'twerkers' (????), le gâteau, les coeurs... ya pas trop de spontanéité artistique là-dedans... Mais le monsieur qui danse, OK. Je m'emballerai un peu moins que toi, Métro, mais c'est sympa.
Me fait penser à une chanson de Lavilliers :
J'aime les femmes rondes qui nous emmènent au bal tropical.
