Un peu moins célèbre que le démon de Dover, voici la grenouille de Loveland : http://www.paranormal-encyclopedie.com/ ... e_Loveland

J'ai l'impression que le témoignage des années cinquante n'a rien à voir avec ceux des années septante, qui semblent avoir été causés (selon l'interview récente de Mark Mathews en tout cas) par un simple reptile exotique échappé.

Qu'en pensez-vous ?

Le témoignage des années cinquante, avec ces trois/quatre êtres et cette baguette lumineuse et parfumée, me semble vraiment très bizarre.

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Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.

Y venait de lire des contes de fées et il avait un coup dans le pif, non ?

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

C'est un peu facile, comme explication (d'autant qu'elle fonctionne pour à peu près tous les témoignages). Peut-être a-t-il juste vu des jeunes, peut-être déguisés, tenant un feu de bengale ? C'est en tout cas ce qu'évoque son histoire de baguette à étincelles.

Au passage, cela ne veut probablement rien dire mais son témoignage contient de nombreuses répétitions du chiffre trois. Il a vu à 3h30 3 créatures de 3 pieds pendant 3 minutes.

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Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.

Oui, d'autant que le témoignage de 2001 tant à démontrer que ce pourrait être un lézard, je pense à une grenouille avec un feux de bengale ou d'artifice, des gosses qui jouent quoi.

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Da funky emperor !

Notez que ce lézard échappé a tout de même dû survivre deux semaines au moins, en mars, alors qu'il gelait. Il ne devait donc pas être très exotique, mais tout de même suffisamment incongru pour que deux policiers locaux ne parviennent pas à l'identifier.

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Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.

Ouais, enfin une grenouille de presqu'un mètre, c'est une belle pièce !

Ouais, c'étaient peut-être des enfants avec un déguisement et des genres de pétards ou de feux...
Mais bon, pourquoi le gars s'en serait-il pas aperçu, en trois minutes ?

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]