Les images et le design ont l'air vraiment très jolis et originaux. Par contre, le scénario, mazette...
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L'action se passe à Montréal dans un futur où l'humanité est prête à se rendre sur la planète rouge. Mais tous ne sont pas décidés à y aller. Jacob Obus, un septuagénaire charismatique et très aimé, chef du mouvement anti-cybernétique, est fier de ralentir le temps. Il joue de la musique captivante sur des instruments inspirés par les corps des femmes conçus par son ami Arthur. C'est lorsque Jacob et Arthur sont frappés par Avril, une jeune photographe, que la vraie nature du vieux symbole sexuel est révélée. Après avoir fait l'amour pour la première fois de sa vie, Jacob est prêt à partir pour Mars à la recherche de sa muse qui vient d'y être envoyée par erreur. C'est là qu'intervient Eugène Spaak, célèbre cosmologue et père d'Arthur, qui soutient que Mars n'est qu'une chimère.
On dirait que les auteurs québécois de S-F partagent les mêmes travers que leurs cousins d'outre-Atlantique : ils se sentent obligé d'inclure du sexe et de la métaphysique de comptoir dans leurs scénarios. Barjavel en est l'illustration la plus plus mauvaise et la plus caricaturale, mais on retrouve également cette tendance chez Werber...
