Sacrifions à une tradition inoffensive : les chansons de Noël !

Une chanson à fredonner près de la cheminée, en famille, entre la dinde et le pudding :



Une chanson à murmurer dans votre isba, avec votre âme sœur, avec un samovar rempli de thé russe :



Une chanson à gueuler dans votre squat autogéré, avec vos potes anarcho-punks antifas

Une chanson pour headbanger avec vos potes métalleux aux cheveux longs et gras :

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Close the world, open the next

Chanson à ne pas écouter s'il y a des enfants à proximité.

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"A vaincre sans péril, on s'embête beaucoup moins" Pierre Corneille, Le Cid

Je teste mes nouveaux écouteurs à réduction de bruit...




Sinon, ça fait du bien un petit acoustique... tellement de mélancolie douce dans cette version de Jenny was a friend of mine... (cela dit, il y a... disons 2 degrés de compréhension à cette chanson... )

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée

Psychopompos : je l'ai dans la tête, maintenant

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« C'est une paralysie du sommeil. Ou bien un orbe. » (vieille sagesse zététique).

Heuuuuu...

Et personne n'est choqué par la chanson médiévale ? Le mec qui glorifie son érection due au spectacle de sa princesse en train d'être torturée et violée ?

Moi ce qui me choque, c'est qu'on puisse prendre Ultra Vomit au premier degré

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Moi ce qui me choque, c'est que tu crois que je sais qui est Ultra Vomit.

(Okay, le nom devrait me mettre le doute. Mais 'Sepultura' et 'Megadeth', c'est du second degré aussi ? )

Comme l'a dit Herr Magog, c'est Ultra Vomit : il y a toujours souvent une faute de goût quelque part (sauf lorsqu'ils parlent de canard).

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Close the world, open the next

C'est de l'ultra light si on considère ce qui peut se faire en matière de noms de groupe ...

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"Tout croire et ne rien croire sont deux solutions également commodes, qui l'une comme l'autre nous dispensent de réfléchir." H. Poincaré