Metronomia a écrit:
Je ne sais pas toi, mais j'avoue n'avoir jamais vraiment compris leurs comportements, que je trouvais erratiques/pas cohérents.
Non, je n'ai eu vraiment aucun problème là-dessus. La plupart des monstres attaquent Simon dès qu'ils le perçoivent, il y a juste des variations entre ceux qui sont aveugles mais ont une ouïe fine, ceux qui se téléportent, ceux qui sentent le contact visuel (ou ça les rend complètement fous furieux, ou ça les immobilise temporairement), ceux qui ont un « périmètre de sécurité » dans lequel il ne faut absolument pas pénétrer...
Une fois qu'on a compris cette variation, il faut juste adapter sa stratégie d'évitement. Je ne vois pas trop où est le problème avec cela, c'est un grand classique de tous les jeu de
survival horrors et je trouve cela très bien fait dans SOMA. Il faut juste parfois un peu de temps pour comprendre (j'ai par exemple mis un temps fou pour réaliser que la dernière créature, le cadavre de Jin Yoshida enfermé dans son power suit, était décontenancé lorsqu'on le regardait, ce qui peut servir à lui échapper car il est sinon extrêmement rapide).
J'ai parlé ci-dessus de
Through the Woods, un autre jeu de
survival horror où ce même principe est mal exécuté : les monstres y ont également une caractéristique spéciale... mais on peut tous les feinter en courant très vite (ce qui ne marche
pas dans SOMA

).
Metronomia a écrit:
Ensuite, comme tu le dis très justement, pour les contrer, il fallait surtout savoir s'orienter dans un labyrinthe et avoir un sens de l'orientation correct pour réussir sa fuite. Ce que je n'ai pas du tout.
Du coup, c'est ton problème, pas celle du jeu ou de sa jouabilité, non ?..
Bon, OK, je comprend ce que tu veux dire et j'ai également galéré lors de deux passages (l'épave du Curie, et la toute dernière station Tau). Mais il ne s'agit pas d'une question de jouabilité, plutôt de
level design, et celui-ci est tout à fait assumé de la part des développeurs (ils ont
sciemment fait des niveaux labyrinthiques pour qu'on s'y perde et qu'on galère un peu, les scélérats !).