Bon, je n'ai pas envie de gagner le jeu mais d'un autre côté, il y a peu de chances que quelqu'un trouve la réponse s'il a l'impression que ma suggestion était une fausse piste...
Mon intuition d'hier soir était bonne, comme l'a confirmé une recherche Wikipedia :
http://en.wikipedia.org/wiki/Shigeru_MizukiQuelques infos en français :
Citer:
Shigeru Mizuki (水木 しげる, Mizuki Shigeru?), de son vrai nom Shigeru Mura (武良 茂, Mura Shigeru?) est un mangaka japonais né le 8 mars 1922 à Sakai Minato dans la préfecture de Tottori. Il est un des grands fondateurs du manga d'horreur, se spécialisant dans les histoires de monstres et de fantômes japonais, avec des yōkai, tengu, kappa, etc..
Gaucher ayant perdu son bras gauche, lors d'un bombardement durant la Seconde Guerre mondiale, en Nouvelle-Guinée, il surmonta ce traumatisme et apprit à dessiner du bras droit pour devenir auteur de manga au début des années 1950.
Son manga le plus célèbre est sans conteste Kitaro le repoussant (ゲゲゲの鬼太郎, Ge-ge-ge no Kitarō?), qui fut adapté en anime, en film et en jeu vidéo, et dont le personnage principal est Kitaro, un chasseur de yōkai. Il raconte son initiation à ce monde imaginaire et traditionnel japonais durant son enfance par une vieille dame, amie de sa famille, dans NonNonBâ (のんのんばあとオレ, Nonnonbā to ore?, lit. Mémé et moi).
Il participa en 1964 aux débuts du magazine Garo fondé par Katsuichi Nagai et Sanpei Shirato, avec Kitarō yawa (鬼太郎夜話, Kitarō yawa?), prémisse de Kitaro le repoussant, et Ninpō hiwa (忍法屁話, Ninpō hiwa?), histoire parodique de ninja. Il y eut comme assistant Ryōichi Ikegami, puis dans la suite de sa carrière Takao Yaguchi et Yoshiharu Tsuge, entre autres.
Il a reçu le Prix du manga Kōdansha en 1965 pour Terebi-kun (テレビくん, Terebi-kun?) et en 1989 pour Shōwa-shi (昭和史, Shōwa-shi?), et en 2007 le jury du festival d'Angoulême lui a attribué le Prix du meilleur album, pour le manga NonNonBâ.
Sakai Minato, sa ville natale située face à la mer du Japon, a su tirer profit du succès de l'enfant du pays. Là-bas, certains le surnomment même « le sauveur ». Autrefois réputé pour sa pêche de crabes, le port a transformé son activité sur le déclin en économie touristique florissante. Désormais, 120 statues de bronze à l'effigie de yokais bordent les 800 mètres de son avenue principale, rebaptisée la Route de Mizuki, et mène à un musée consacré au maître. Ces attractions drainent près de un million de touristes par an. Les autorités locales sont allées jusqu'à ériger l'univers animé de Mizuki en religion, en élaborant un guide de ses « esprits » et de leurs pouvoirs présumés, comme le don du bonheur ou de la réussite.
Cet engouement pour les personnages de manga n'est pas rare au Japon. On estime que 50 % de la population lit un manga au moins une fois par semaine.

Route de Mizuki, Sakaiminato, Japon.
Je passe mon tour si quelqu'un d'autre a un lieu à proposer, je ne suis pas en mesure d'uploader des images dans l'immédiat.
_________________

Sage à ses heures, idiot le reste du temps.
Horaire inconnu.